Alstom a fait savoir qu’il pourrait supprimer 4.000 emplois d’ici à 2012 de sa division Power, spécialisée dans les turbines électriques. Cette décision est le résultat d’une reprise qui se fait attendre notamment auprès des clients électriciens européens et américains. Dans ce contexte, la France devrait être plus épargnée que ses homologues allemand, suisse et américain.
Pour rappel, en 2009, le groupe avait déjà amputé ses effectifs mondiaux de 5.000 postes à travers la non-reconduction de contrats et le non-remplacement de départs naturels, soit 6 % des effectifs totaux du groupe.